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6 commentaires:
Cécile
a dit…
ce n'est pas beau comme la encontre fortuite d'une machine à coudre et d'un parapluie sur une table de dissection ... (ô incomparable et comète, Isidore Ducasse Comte de Lautréamont) Mais c'est pas mal.
PS : Breton, lui avait "un revolver à cheveux blancs". je l'ai toujours porté comme un étendard intérieur : à chacun ses figures poétiques et ses cadavres exquis.
Il existe également une chanson dont les paroles disent : "She comes in colors". Le chanteur ne s'est pas caché, je crois, que l'inspiration lui était venue d'une nuit d'amour avec une femme dont les Anglais avaient débarqué. La réalité est prosaïque. La transposition plus métaphorique (voire hippie) et laissant une place certaine à l'imaginaire ...
(mais pourquoi et comment encombré-je mon cerveau de semblables souvenirs ?)
Cécile, j'ai découvert le nouveau Lautréamont c'est le Chevillard de Choir ! Curieux, Breton m'a toujours laissé de marbre, comme Perec. Un peu trop sur le système.
Jolie référence, il faudrait plugger cette chanson sur ce dessin : mais comme je sais pas faire, merci de la chanter en le regardant.
Mon Faune, Vraiment ? je n'aurais jamais imaginé que la petite écriture de Chevillard, finement dentelée, minutieuse et huilée comme les rouages d'un vieux et miniature coucou suisse, puisse atteindre l'ampleur et la puissance vertigineuses et nauséeuses d'un chant de Maldoror. Il est vrai que je n'ai lu que "la nébuleuse du crabe" (livre qui m'a plu quoique m'ayant rappelé (comme bien des lecteurs), par bien des aspects, l'univers de Michaud mais moins inspiré, moins fou, moins beau)
6 commentaires:
ce n'est pas beau comme la encontre fortuite d'une machine à coudre et d'un parapluie sur une table de dissection ... (ô incomparable et comète, Isidore Ducasse Comte de Lautréamont)
Mais c'est pas mal.
PS : Breton, lui avait "un revolver à cheveux blancs".
je l'ai toujours porté comme un étendard intérieur : à chacun ses figures poétiques et ses cadavres exquis.
Il existe également une chanson dont les paroles disent :
"She comes in colors".
Le chanteur ne s'est pas caché, je crois, que l'inspiration lui était venue d'une nuit d'amour avec une femme dont les Anglais avaient débarqué. La réalité est prosaïque. La transposition plus métaphorique (voire hippie) et laissant une place certaine à l'imaginaire ...
(mais pourquoi et comment encombré-je mon cerveau de semblables souvenirs ?)
maginfique, c'est du bowie moi aussi je vois des étoiles dans ces moments-là
Cécile, j'ai découvert le nouveau Lautréamont c'est le Chevillard de Choir ! Curieux, Breton m'a toujours laissé de marbre, comme Perec. Un peu trop sur le système.
Jolie référence, il faudrait plugger cette chanson sur ce dessin : mais comme je sais pas faire, merci de la chanter en le regardant.
greta g, ravi de l'apprendre.
Mon Faune,
Vraiment ? je n'aurais jamais imaginé que la petite écriture de Chevillard, finement dentelée, minutieuse et huilée comme les rouages d'un vieux et miniature coucou suisse, puisse atteindre l'ampleur et la puissance vertigineuses et nauséeuses d'un chant de Maldoror.
Il est vrai que je n'ai lu que "la nébuleuse du crabe" (livre qui m'a plu quoique m'ayant rappelé (comme bien des lecteurs), par bien des aspects, l'univers de Michaud mais moins inspiré, moins fou, moins beau)
Très intéressante plongée dans la psyché féminine. Et pour les hommes ? Quelle image vous vient ?
http://davidikus.blogspot.com/
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