C'est marrant : on a l'impression de voir une version hétéro du livre blanc de Cocteau et Harold Pinter qui se souvient (d'Antonia Frazer JEUNE ?)
L'histoire fonctionnerait mieux si tout cela était à l'horizontale (sans jeu de mot, ou presque) : la séquence est moins claire verticalement. (Je sais bien que cela est lié aux limites des blogs...)
@Davidikus Puisque tu en parles (et que je n'ai jamais vraiment osé aborder le sujet de front dans ces pages) ... Oui, chez la flore et la faune, les dessins ont presque toujours une orientation hétéro (l'amour, ses attentes, ses déceptions, le couple, le sexe) ... alors que pourtant notre société est plurielle et autre.
@mon faune Un jour, j'ai entendu à la radio un centenaire parler, sans débordement ni pruderie, de désir sexuel et d'attraction physique pour la beauté. Il le disait toujours présent et "taraudant" mais triste car impossible désormais à concrétiser. la vieillesse, la vieillesse ... ... quel gouffre.
@Cécile, hi hi c'est rigolo de dire que la flore ne dessine que des hétéros et pourrait faire un peu de discrimination positive ! Ce serait pas un peu politiquement correct ? ce qui m'étonnerait de ta part :-)
Bon moi j'aime beaucoup ce post il m'évoque les Fraises sauvages
@greta Loin de moi cette idée ... je ne faisais qu'un simple constat. (j'aurais dû encore m'abstenir d'écrire, je le sens ...) Tu sais, je ne comprends strictement rien au concept de politiquement correct et de bien-pensance (qui pour moi, riment avec conservatisme, conformisme social, conventions, être dans le rang, adhérer complètement à l'esprit du temps et des normes)
"Cécile, c'est reposant aussi de faire plein de choses juste en pensées." Mon faune, tu prêches une convertie qui ne cesse, depuis sa petite enfance, de flotter entre réalité et rêverie.
Mais pour avoir vu (et je sais que nous sommes de plus en plus nombreux à le vivre), des êtres aimés se creuser et se paralyser, se recroqueviller dans des lits jusqu'à devenir des tas d'os ne pesant pas plus que quelques plumes, rechercher désespérémmetn de l'air, s'égarer dans les méandres de leur mémoire à en hurler de crainte ou de rire, habités par une folie douce ou dévastatrice, la grande vieillesse est un abîme angoissant qui me fait très peur.
Crispée ... Etrange comme la blogosphère a l'art de me ramener par associations d'idées à des souvenirs souvent difficiles ou bien à des chansons stupides.
Je me souviens de la très grande beauté et de la très grande intelligence de ce film incomparable de Bergman. Je respire mieux ...
La rêverie peut revêtir plusieurs formes. Une première, constatée içi, est de croire en ses rêves et d'oublier que la réalité du travail de Cécile n'est pas de "blogger" toute la journée.
9 commentaires:
C'est marrant : on a l'impression de voir une version hétéro du livre blanc de Cocteau et Harold Pinter qui se souvient (d'Antonia Frazer JEUNE ?)
L'histoire fonctionnerait mieux si tout cela était à l'horizontale (sans jeu de mot, ou presque) : la séquence est moins claire verticalement. (Je sais bien que cela est lié aux limites des blogs...)
@Davidikus
Puisque tu en parles (et que je n'ai jamais vraiment osé aborder le sujet de front dans ces pages) ... Oui, chez la flore et la faune, les dessins ont presque toujours une orientation hétéro (l'amour, ses attentes, ses déceptions, le couple, le sexe) ... alors que pourtant notre société est plurielle et autre.
@mon faune
Un jour, j'ai entendu à la radio un centenaire parler, sans débordement ni pruderie, de désir sexuel et d'attraction physique pour la beauté. Il le disait toujours présent et "taraudant" mais triste car impossible désormais à concrétiser. la vieillesse, la vieillesse ... ... quel gouffre.
@Cécile, hi hi c'est rigolo de dire que la flore ne dessine que des hétéros et pourrait faire un peu de discrimination positive ! Ce serait pas un peu politiquement correct ? ce qui m'étonnerait de ta part :-)
Bon moi j'aime beaucoup ce post il m'évoque les Fraises sauvages
no comprendo, mais est-ce bien grave ? le débris, c'était la fille ou le garçon ? en tous cas, très beaux dessins, très inspirés hé hé...
@greta
Loin de moi cette idée ... je ne faisais qu'un simple constat. (j'aurais dû encore m'abstenir d'écrire, je le sens ...)
Tu sais, je ne comprends strictement rien au concept de politiquement correct et de bien-pensance (qui pour moi, riment avec conservatisme, conformisme social, conventions, être dans le rang, adhérer complètement à l'esprit du temps et des normes)
>> aux concepts.
Davidikus, mais y a t il vraiment une histoire ?
Cécile, c'est reposant aussi de faire plein de choses juste en pensées.
greta g, fallait que je fasse un blog pour qu'on me compare à Bergman, j'ai bien fait de pas faire d'école de cinéma.
Christine, merci. Non, pas grave si tu ne comprends pas, c'est un post qui flotte un peu, ça repose...
Cécile, je me disais bien aussi.
"Cécile, c'est reposant aussi de faire plein de choses juste en pensées."
Mon faune, tu prêches une convertie qui ne cesse, depuis sa petite enfance, de flotter entre réalité et rêverie.
Mais pour avoir vu (et je sais que nous sommes de plus en plus nombreux à le vivre), des êtres aimés se creuser et se paralyser, se recroqueviller dans des lits jusqu'à devenir des tas d'os ne pesant pas plus que quelques plumes, rechercher désespérémmetn de l'air, s'égarer dans les méandres de leur mémoire à en hurler de crainte ou de rire, habités par une folie douce ou dévastatrice, la grande vieillesse est un abîme angoissant qui me fait très peur.
Crispée ... Etrange comme la blogosphère a l'art de me ramener par associations d'idées à des souvenirs souvent difficiles ou bien à des chansons stupides.
Je me souviens de la très grande beauté et de la très grande intelligence de ce film incomparable de Bergman. Je respire mieux ...
Bonne journée à tous. Portez-vous bien.
La rêverie peut revêtir plusieurs formes. Une première, constatée içi, est de croire en ses rêves et d'oublier que la réalité du travail de Cécile n'est pas de "blogger" toute la journée.
Enregistrer un commentaire